Vision incroyable
C'est un instant unique. J'étais obligé de sortir mon appareil-photo
pour immortaliser cela. Une pompe à essence qui fonctionne à la station
Total de l'A86 (venant de l'A4, vers l'A6), c'est très rare. Les anciens
racontent même qu'autrefois, les poubelles étaient régulièrement vidées
et qu'il y avait du liquide dans les bacs de la raclette à vitres. Mais
ça me semble trop improbable pour être vrai.
Ah et sinon, il y a un Hummer H3 à l'image.
A part ça, j'ai mon coup de gueule habituel à mon propos d'un mort (donc, cette fois, Jules Bianchi.) Du peu que je sais de la médecine, c'est qu'après un choc, si vous ne vous réveillez pas dans les 24h, c'est foutu. C'était donc peut-être mieux pour lui. Que s'est-il passé ? On ne le saura jamais. Partant du principe que les absents ont toujours tort, la FIA a chargé le pilote Français. Et bien sûr, il y a les hommages écrits à la va-vite. Bianchi a remporté la FR 2.0 Eurocup 2007, Macao 2008 et la F3 Euro Series 2009. Ensuite, ce fut plus laborieux. 3e du GP2 2010, il choisit de tripler dans la discipline et termina 2e. Du coup, il redescendit en FR 3.5 et termina 2e en 2012. C'est très bien, mais on est loin d'un parcours météorique à la Jean-Eric Vergne ou à l'Esteban Ocon. Pilote Marussia F1, il a eu un trait de génie à Monaco 2014. C'était une de ces courses à élimination. Bianchi a su rester en piste et marquer terminer 9e sur 12. Toutes proportions gardées, ça rappelait la victoire d'Olivier Panis en 1996. On parle d'un contrat chez Sauber. Mais mon intime conviction, c'est que Ferrari hésitait entre Kimi Raikkonen et lui. Il aurait été un pilote du cru, taillé sur mesure comme Felipe Massa en son temps. D'ailleurs, ils avaient le même manager, Nicolas Todt...
Quoi qu'on en dise, c'est toujours moche de voir mourir un jeune pilote. Que ce soit Bianchi ou Christian Bakkerud. Ce qui m'énerve, c'est plutôt les pleureurs professionnels. Je ne parle pas des vais passionnés, qui suivent le sport auto 365 jours par an ; Je parle des charognards. A lire certains articles, on voit bien qu'ils ont déjà oublié Maria de Vilotta, Allan Simonsen ou Sean Edwards. Ils sont là juste pour faire de l'émotion facile, à coup de trémolos et de superlatifs. D'un seul coup, tout le monde est fan d'un pilote de fond de grille, en F1. Comme ce type qui m'a demandé mon opinion sur "Jules Bianchi (NDLA : en prononçant le "ch"), pilote chez Borussia". Ce sont les mêmes qui se sont découvert une passion pour Alain de Greef il y a 2 semaines. Et dans 2 jours, une semaine, un mois, ils feront la nécrologie d'un autre Homme "irremplaçable".
Ah et sinon, il y a un Hummer H3 à l'image.
A part ça, j'ai mon coup de gueule habituel à mon propos d'un mort (donc, cette fois, Jules Bianchi.) Du peu que je sais de la médecine, c'est qu'après un choc, si vous ne vous réveillez pas dans les 24h, c'est foutu. C'était donc peut-être mieux pour lui. Que s'est-il passé ? On ne le saura jamais. Partant du principe que les absents ont toujours tort, la FIA a chargé le pilote Français. Et bien sûr, il y a les hommages écrits à la va-vite. Bianchi a remporté la FR 2.0 Eurocup 2007, Macao 2008 et la F3 Euro Series 2009. Ensuite, ce fut plus laborieux. 3e du GP2 2010, il choisit de tripler dans la discipline et termina 2e. Du coup, il redescendit en FR 3.5 et termina 2e en 2012. C'est très bien, mais on est loin d'un parcours météorique à la Jean-Eric Vergne ou à l'Esteban Ocon. Pilote Marussia F1, il a eu un trait de génie à Monaco 2014. C'était une de ces courses à élimination. Bianchi a su rester en piste et marquer terminer 9e sur 12. Toutes proportions gardées, ça rappelait la victoire d'Olivier Panis en 1996. On parle d'un contrat chez Sauber. Mais mon intime conviction, c'est que Ferrari hésitait entre Kimi Raikkonen et lui. Il aurait été un pilote du cru, taillé sur mesure comme Felipe Massa en son temps. D'ailleurs, ils avaient le même manager, Nicolas Todt...
Quoi qu'on en dise, c'est toujours moche de voir mourir un jeune pilote. Que ce soit Bianchi ou Christian Bakkerud. Ce qui m'énerve, c'est plutôt les pleureurs professionnels. Je ne parle pas des vais passionnés, qui suivent le sport auto 365 jours par an ; Je parle des charognards. A lire certains articles, on voit bien qu'ils ont déjà oublié Maria de Vilotta, Allan Simonsen ou Sean Edwards. Ils sont là juste pour faire de l'émotion facile, à coup de trémolos et de superlatifs. D'un seul coup, tout le monde est fan d'un pilote de fond de grille, en F1. Comme ce type qui m'a demandé mon opinion sur "Jules Bianchi (NDLA : en prononçant le "ch"), pilote chez Borussia". Ce sont les mêmes qui se sont découvert une passion pour Alain de Greef il y a 2 semaines. Et dans 2 jours, une semaine, un mois, ils feront la nécrologie d'un autre Homme "irremplaçable".
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