Trois voitures
J'ai croisé trois voitures quasi-contemporaines dans trois lieux, le même jour. Particularité : elles avaient trois philosophies différentes. Comme l'autre jour, avec la Lincoln et la 126, mais puissance trois !
On commence par cette série 5 (E28.) Une 535i ? Une berline 4 portes, à propulsion. Elle est partie avant que je ne puisse m'approcher.
Une Coccinelle; cette fois, c'est le tout-à-l'arrière. A l'époque, il n'avait que des inconvénients, notamment un coffre minuscule (à cause de l'aérodynamisme.) Mais sur un monocorps, il permet d'avancer la cellule centrale au maximum. Accessoirement, cela donne de meilleures résultats au crash-test frontal (pas besoin de renforcer la planche de bord pour retenir le moteur.) Voilà pourquoi cette architecture est revenu sur la Smart, puis sur sa cousine Twingo...
On finit par une Autobianchi A112 Abarth. L'argument de la propulsion, c'est que les roues arrières gèrent mieux le surcroit de puissance. Néanmoins, les pneus ont beaucoup progressé durant les années 60-70 (grâce notamment à Michelin et à son pneu radial.) En 1960, seuls des originaux comme Citroën ou DKW tenaient à la traction. 20 ans plus tard, la Morris Ital était une des dernières "popu" propulsion. Alfa Romeo s'était converti avec l'Alfasud. Peugeot devait se justifier pour ses 505 et 604. On se moquait des Japonais (en particulier Nissan et Toyota), qui commercialisait des propulsions faute de maitriser la technologie des tractions. C'était aussi un moyen de se rassurer face à cet ogre nippon...
On commence par cette série 5 (E28.) Une 535i ? Une berline 4 portes, à propulsion. Elle est partie avant que je ne puisse m'approcher.
Une Coccinelle; cette fois, c'est le tout-à-l'arrière. A l'époque, il n'avait que des inconvénients, notamment un coffre minuscule (à cause de l'aérodynamisme.) Mais sur un monocorps, il permet d'avancer la cellule centrale au maximum. Accessoirement, cela donne de meilleures résultats au crash-test frontal (pas besoin de renforcer la planche de bord pour retenir le moteur.) Voilà pourquoi cette architecture est revenu sur la Smart, puis sur sa cousine Twingo...
On finit par une Autobianchi A112 Abarth. L'argument de la propulsion, c'est que les roues arrières gèrent mieux le surcroit de puissance. Néanmoins, les pneus ont beaucoup progressé durant les années 60-70 (grâce notamment à Michelin et à son pneu radial.) En 1960, seuls des originaux comme Citroën ou DKW tenaient à la traction. 20 ans plus tard, la Morris Ital était une des dernières "popu" propulsion. Alfa Romeo s'était converti avec l'Alfasud. Peugeot devait se justifier pour ses 505 et 604. On se moquait des Japonais (en particulier Nissan et Toyota), qui commercialisait des propulsions faute de maitriser la technologie des tractions. C'était aussi un moyen de se rassurer face à cet ogre nippon...
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