Jabouille, Massa, même combat!

Dijon, 1979: Pour Jean-Pierre Jabouille, la F1 fut un sacerdoce. Les essais avec "l'Alpine-Renault A500" en 1976. Les grands prix avec la Renault RS01, en 1977, qui s'arrêtent le vendredi soir, sur non-qualification. "Le turbo, ça ne marchera jamais." Jabouille lui-même a donné des coups de crayon et enfin, avec la RS03, le Turbo s'impose, à domicile. Hélas, pour le "grand", sa victoire est éclipsée par l'incroyable duel Arnoux-Villeneuve, qui se double et se redoublent jusqu'au drapeau à damier. Le Québecois aura le dernier mot et la médaille d'argent. La caméra n'offre qu'un bref plan de Jabouille passant devant le damier.
Istanbul, 2006: Pas facile de débuter tout en succédant à Kimi Raikkonen chez Sauber et d'être Brésilien (donc "héritier de Senna" pour tout un peuple.) Trop de pression. Bilan: des voitures froissées et un patron excédé. Heureusement, Ferrari veille sur lui. Il muri comme cobaye de la Scuderia en 2003, avant de se faire réembaucher par Sauber pour 2004-2005. Puis la Scuderia lui offre une voiture. Il collectionne les podiums et apprend à laisser gagner Schumacher, même quand il est plus rapide. En Turquie, Fernando Alonso a intercalé sa Renault entre les deux Rouges. Massa a le champ libre pour s'imposer. Hélas, l'histoire retiendra la bagarre Schumacher-Alonso dans les derniers kilomètres, pour le gain de la 2e place, à l'avantage de l'Espagnol.

Pourquoi y a t'il toujours des troubles-fête?

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