Une journée aux Ecuyers
Bien sûr, lorsqu'on a piloté la Lotus Elan aux Ecuyers, on n'étaient pas tout seul en piste... J'ai compté 38 voitures et en voici quelques unes.
Dans une journée circuit, vous en avez toujours qui arrivent bien avant tout le monde. Ce rôle-là était tenu par une Porsche 356 et une Lotus Seven.
La Triumph TR3A d'un ami de Nicolas (celui dont la femme est montée avec moi dans l'Elan+2.) Ils se la sont offertes il y a quelques jours. La voiture est incomplète, un peu coursifiée et je subodore que sous la jolie peinture, c'est le musée des horeurs... La veille du jour J, ils l'ont bidouillée. Elle est descendu de la remorque au treuil, mais elle a roulé toute la journée sans broncher ! La TR3A avait cette réputation de "voiture de MacGyver".
On reste dans les Anglaises avec cette MGA. On jurerait qu'elle s'est échappé d'une édition des 24 heures du Mans des années 50...
Deux berlinettes Hommell. Pour ceux qui ne connaissent pas, dans les années 90, Michel Hommell -un grand fan d'Alpine A110- a voulu construire une A110 moderne. Elles étaient construites à Lohéac, fief du patron de presse. La mécanique, ainsi que nombre de pièces étaient empruntées à PSA. Il y a eu un challenge circuit (en marge des rencontres Peugeot) et une coupe monotype durant le championnat de France de rallye. Par la suite, les Hommell furent maquillées en Vaillante, le temps d'une autre coupe monotype. Mais le projet n'a pas survécu au durcissement des normes d'homologation.
Ce qui était bien, c'est qu'il y avait une grande diversité. Non seulement parmi les voitures, mais aussi parmi les participants, de différents âges et de différents milieu socio-professionnels. A quelques exceptions près, personne ne se prenait au sérieux.
La doyenne, c'était cette Bugatti Grand Prix (type 59 ?) A priori, c'était une vraie, pas une Pur-sang. Sur mon forum chinois de rallye-raid, les gens en étaient dingues ! Ils m'ont réclamée d'autres photos de l'Alsacienne...
Le midi, certaines mécaniques avait déjà souffert. Cette Chevrolet Corvette (C3) laissait de beaux panaches de fumée blanche. A mon avis, c'était un vase d'expansion fendue, qui goutait sur les échappements. Mais en parallèle, une courroie de distribution a lâché. Au moins, j'ai eu du temps pour immortaliser le V8 yankee...
Le clan du moteur en porte-à-faux arrière ! L'A110 orange me rappelait celle vu dans le show-room Alpine de Boulogne (alors que là-bas, c'était une 1600 et qu'aux Ecuyers, c'était une 1300.) Au total, il y avait trois A110. Elles sont reparties en convoi (la troisième ratatouillait.) Apparemment, ils se sont un peu tiré la bourre sur l'A4. Après le péage, on les a vu rassemblées sur le parking d'une station-service, avec des policiers qui leur servaient le thé et les petits gâteaux (pour reprendre une expression britannique.)
La scène typique de la fin de journée : la voiture qui tombait en rade. D'habitude, les gens arrivaient à rentrer aux stands. Là, la Simca 1000 Rallye 2 a du être ramenée à la ficelle...
Dans une journée circuit, vous en avez toujours qui arrivent bien avant tout le monde. Ce rôle-là était tenu par une Porsche 356 et une Lotus Seven.
La Triumph TR3A d'un ami de Nicolas (celui dont la femme est montée avec moi dans l'Elan+2.) Ils se la sont offertes il y a quelques jours. La voiture est incomplète, un peu coursifiée et je subodore que sous la jolie peinture, c'est le musée des horeurs... La veille du jour J, ils l'ont bidouillée. Elle est descendu de la remorque au treuil, mais elle a roulé toute la journée sans broncher ! La TR3A avait cette réputation de "voiture de MacGyver".
On reste dans les Anglaises avec cette MGA. On jurerait qu'elle s'est échappé d'une édition des 24 heures du Mans des années 50...
Deux berlinettes Hommell. Pour ceux qui ne connaissent pas, dans les années 90, Michel Hommell -un grand fan d'Alpine A110- a voulu construire une A110 moderne. Elles étaient construites à Lohéac, fief du patron de presse. La mécanique, ainsi que nombre de pièces étaient empruntées à PSA. Il y a eu un challenge circuit (en marge des rencontres Peugeot) et une coupe monotype durant le championnat de France de rallye. Par la suite, les Hommell furent maquillées en Vaillante, le temps d'une autre coupe monotype. Mais le projet n'a pas survécu au durcissement des normes d'homologation.
Ce qui était bien, c'est qu'il y avait une grande diversité. Non seulement parmi les voitures, mais aussi parmi les participants, de différents âges et de différents milieu socio-professionnels. A quelques exceptions près, personne ne se prenait au sérieux.
La doyenne, c'était cette Bugatti Grand Prix (type 59 ?) A priori, c'était une vraie, pas une Pur-sang. Sur mon forum chinois de rallye-raid, les gens en étaient dingues ! Ils m'ont réclamée d'autres photos de l'Alsacienne...
Le midi, certaines mécaniques avait déjà souffert. Cette Chevrolet Corvette (C3) laissait de beaux panaches de fumée blanche. A mon avis, c'était un vase d'expansion fendue, qui goutait sur les échappements. Mais en parallèle, une courroie de distribution a lâché. Au moins, j'ai eu du temps pour immortaliser le V8 yankee...
Le clan du moteur en porte-à-faux arrière ! L'A110 orange me rappelait celle vu dans le show-room Alpine de Boulogne (alors que là-bas, c'était une 1600 et qu'aux Ecuyers, c'était une 1300.) Au total, il y avait trois A110. Elles sont reparties en convoi (la troisième ratatouillait.) Apparemment, ils se sont un peu tiré la bourre sur l'A4. Après le péage, on les a vu rassemblées sur le parking d'une station-service, avec des policiers qui leur servaient le thé et les petits gâteaux (pour reprendre une expression britannique.)
La scène typique de la fin de journée : la voiture qui tombait en rade. D'habitude, les gens arrivaient à rentrer aux stands. Là, la Simca 1000 Rallye 2 a du être ramenée à la ficelle...
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