Bye bye, la Logan !
La photo du haut, je l'ai prise sur le parking du concessionnaire Toyota. Pour la dernière fois, je garais ma Dacia Logan. J'allais en remettre les deux clefs, ainsi que la carte grise au concessionnaire.
La photo ci-après n'a que deux mois et demi. Mais depuis, mes deux voitures sont parties. D'abord la MX-5, puis la Logan...
Autant j'avais un attachement sentimental avec la MX-5, autant la Logan, j'étais bien content de la voir partir...
J'avais acheté cette 1.6 MPI (essence) Lauréate de 2005, dans un but purement utilitaire. En l'occurrence, l'utiliser la semaine (après 180 000km, ni la boite, ni l'embrayage de la MX-5 n'aimaient les embouteillages) et lorsque j'avais du matériel à transporter.
De plus, cette Logan devait être juste une voiture de transition, le temps de pouvoir m'en payer une neuve. C'est pour ça qu'en 6 mois et 12 000km, j'ai effectué des travaux de mécanique (nouveaux pneus, vidange...), mais rien de cosmétique (comme les enjoliveurs, par exemple.)
Le gros point positif de la Logan, c'est qu'elle était increvable ! C'était une voiture qui avait visiblement toujours dormi à l'extérieur, été comme hiver. Pourtant, le moteur Renault tournait comme une horloge ; je n'ai jamais eu de "bruit". La garde-au-sol était généreuse, ce qui me fut utile pour les visites de ZI, où les camions avait creusé ornières et nids de poule... Le réservoir était à peine plus gros que celui de la Mazda, mais là où je dépassais à peine 400km d'autonomie avec la Japonaise, la Roumaine me permettait de rouler plus de 550km. Accessoirement, avec 105ch sous le capot, elle s'élançait bien, au feu vert.
Par contre, ça reste une voiture low-cost. Même avec rétroviseurs électriques, vitres électriques et climatisation, ce n'était pas la joie. Au-delà de 90, le niveau sonore était élevé : j'entendais à peine les instructions de Google Maps, même volume à fond ! Le gros défaut, c'était quand même l'image que ça renvoi de vous. Une Logan sans enjoliveurs, avec des bosses et des traces de rouilles, ça faisait voiture de manouche... A Chantilly Arts & Elegance, j'avais honte de débarquer avec...
Au moment où j'avais pris la photo des deux voitures, je pensais que tout allait être simple... L'étape 1, c'était la correction des bleus accumulés par la Mazda, en près de dix ans. Maintenant que c'était fini. Place à l'étape 2, chez Toyota. A savoir commander une voiture neuve et faire reprendre la Mazda... Avec un peu de chance, mon modèle désiré sera disponible en voiture de direction...
Evidemment, ça ne s'est pas passé comme ça. Lorsqu'un premier concessionnaire m'a fait une offre de reprise, j'ai failli rigoler. Pas de voiture en stock (ni de modèle approchant) et le délais de livraison (trois mois) était fantasque.
J'ai été dans un second concessionnaire Toyota, qui m'a fourni un délais de livraison plus court. Mais entre temps, j'avais décidé de vendre ma voiture par mes propres moyens et de faire reprendre la Logan. Sachant que la Roumaine est en Crit'air 3 : vous ne pouvez pas rouler en cas de pic de pollution, mais vous ne pouvez pas bénéficier d'une prime à la casse !
J'ai vendu la MX-5 pour plus du double du montant que me proposait le concessionnaire N°1. Et ensuite, j'avais la Logan sur les bras... Le délais de livraison (un mois et demi) annoncé avait une marge de 15 jours et bien sûr, au final, ce fut le délais au plus long... Début juin, on me disait que j'allais la recevoir la semaine d'après (ce qui aurait été en avance sur le délais initial.) Puis ce fut la semaine d'après, puis celle d'après... C'était frustrant et j'avais l'impression d'être bloqué avec la Logan ad eternam...
Jusqu'au jour où enfin, on me dit de passer chercher la voiture. Puis je reçu le numéro de plaque, pour faire les démarches d'assurances et de vignette Crit'air. Le jour J, j'arrive avec la Logan au concessionnaire...
Si vous avez l’œil, vous remarquerez que la photo ci-dessus et celle en en-tête n'ont pas été prise au même endroit...
Car après avoir signé les papiers et barré la Carte Grise, j'ai vu que ma voiture n'était pas prête. Je suis reparti avec la Logan, frustré. J'avais l'impression d'être maudit. Surtout, la Carte Grise était barrée et j'avais fait annuler mon assurance. C'était donc très tangent de rouler avec...
Heureusement, la Toyota a pu être prête dans la journée. Je suis retourné au concessionnaire et je me suis garé pour de bon...
Et en sortant du concessionnaire, au volant de ma nouvelle voiture, je suis repassé devant la Logan.
C'était un sentiment bizarre. Ce n'était déjà plus ma voiture...
La photo ci-après n'a que deux mois et demi. Mais depuis, mes deux voitures sont parties. D'abord la MX-5, puis la Logan...
Autant j'avais un attachement sentimental avec la MX-5, autant la Logan, j'étais bien content de la voir partir...
J'avais acheté cette 1.6 MPI (essence) Lauréate de 2005, dans un but purement utilitaire. En l'occurrence, l'utiliser la semaine (après 180 000km, ni la boite, ni l'embrayage de la MX-5 n'aimaient les embouteillages) et lorsque j'avais du matériel à transporter.
De plus, cette Logan devait être juste une voiture de transition, le temps de pouvoir m'en payer une neuve. C'est pour ça qu'en 6 mois et 12 000km, j'ai effectué des travaux de mécanique (nouveaux pneus, vidange...), mais rien de cosmétique (comme les enjoliveurs, par exemple.)
Le gros point positif de la Logan, c'est qu'elle était increvable ! C'était une voiture qui avait visiblement toujours dormi à l'extérieur, été comme hiver. Pourtant, le moteur Renault tournait comme une horloge ; je n'ai jamais eu de "bruit". La garde-au-sol était généreuse, ce qui me fut utile pour les visites de ZI, où les camions avait creusé ornières et nids de poule... Le réservoir était à peine plus gros que celui de la Mazda, mais là où je dépassais à peine 400km d'autonomie avec la Japonaise, la Roumaine me permettait de rouler plus de 550km. Accessoirement, avec 105ch sous le capot, elle s'élançait bien, au feu vert.
Par contre, ça reste une voiture low-cost. Même avec rétroviseurs électriques, vitres électriques et climatisation, ce n'était pas la joie. Au-delà de 90, le niveau sonore était élevé : j'entendais à peine les instructions de Google Maps, même volume à fond ! Le gros défaut, c'était quand même l'image que ça renvoi de vous. Une Logan sans enjoliveurs, avec des bosses et des traces de rouilles, ça faisait voiture de manouche... A Chantilly Arts & Elegance, j'avais honte de débarquer avec...
Au moment où j'avais pris la photo des deux voitures, je pensais que tout allait être simple... L'étape 1, c'était la correction des bleus accumulés par la Mazda, en près de dix ans. Maintenant que c'était fini. Place à l'étape 2, chez Toyota. A savoir commander une voiture neuve et faire reprendre la Mazda... Avec un peu de chance, mon modèle désiré sera disponible en voiture de direction...
Evidemment, ça ne s'est pas passé comme ça. Lorsqu'un premier concessionnaire m'a fait une offre de reprise, j'ai failli rigoler. Pas de voiture en stock (ni de modèle approchant) et le délais de livraison (trois mois) était fantasque.
J'ai été dans un second concessionnaire Toyota, qui m'a fourni un délais de livraison plus court. Mais entre temps, j'avais décidé de vendre ma voiture par mes propres moyens et de faire reprendre la Logan. Sachant que la Roumaine est en Crit'air 3 : vous ne pouvez pas rouler en cas de pic de pollution, mais vous ne pouvez pas bénéficier d'une prime à la casse !
J'ai vendu la MX-5 pour plus du double du montant que me proposait le concessionnaire N°1. Et ensuite, j'avais la Logan sur les bras... Le délais de livraison (un mois et demi) annoncé avait une marge de 15 jours et bien sûr, au final, ce fut le délais au plus long... Début juin, on me disait que j'allais la recevoir la semaine d'après (ce qui aurait été en avance sur le délais initial.) Puis ce fut la semaine d'après, puis celle d'après... C'était frustrant et j'avais l'impression d'être bloqué avec la Logan ad eternam...
Jusqu'au jour où enfin, on me dit de passer chercher la voiture. Puis je reçu le numéro de plaque, pour faire les démarches d'assurances et de vignette Crit'air. Le jour J, j'arrive avec la Logan au concessionnaire...
Car après avoir signé les papiers et barré la Carte Grise, j'ai vu que ma voiture n'était pas prête. Je suis reparti avec la Logan, frustré. J'avais l'impression d'être maudit. Surtout, la Carte Grise était barrée et j'avais fait annuler mon assurance. C'était donc très tangent de rouler avec...
Heureusement, la Toyota a pu être prête dans la journée. Je suis retourné au concessionnaire et je me suis garé pour de bon...
Et en sortant du concessionnaire, au volant de ma nouvelle voiture, je suis repassé devant la Logan.
C'était un sentiment bizarre. Ce n'était déjà plus ma voiture...
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