Mondial 2014 : 7. Ferrari
L'après-midi, j'ai noté minutieusement les voitures "ultra-urgentes". La
Ferrari 458 Speciale "A", j'ai pris ça pour une faute de frappe (cf.
les "Citreon" ou les "Mini5portes" du tableau.) Donc, j'ai immortalisé
la Ferrari 458 Special. Et au moment de charger mes photos, je découvre
que la "458 Speciale A", ça existe ! Donc, il a fallu que j'y retourne.
Remarquez, aller 2 fois au stand Ferrari, ce n'est pas ce qu'on pourrait
appeler une corvée...
Le seul truc chiant, c'est que mon article n'a quasiment pas été lu !
Au moins, lors de ma 2e visite, j'ai assisté à une sacrée scène. Avec en guest star, Luca di Montezemolo : "C'est bon ? Ca tourne ? Tous les photographes et les cameramen sont là ? - "Luca di Montezemolo improvise une réponse à Sergio Marchionne, 1ère" [clap]. - O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? - Coupez ! - C'est bon ou on la refait ?"
Franchement, c'était niveau Actor's studio ! Marion Cottillard n'aurait pas fait mieux... D'ailleurs, elle n'a pas fait mieux !
Puis il faut reconnaitre que pour les journalistes, c'est du velours : Marchionne, Alonso, la stratégie de Fiat pour Ferrari... Il fait un tir de barrage. De quoi remplir 10 magazines !
Le stand Ferrari est fait de tel façon que toute une partie est impossible à voir depuis les allées. Seul les privilégiés peuvent admirer ces 330 passant la ligne d'arrivée des 24 heures de Daytona 1967 en formation... Histoire de faire (un peu) oublier que l'année précédente, au Mans, c'était les GT 40 qui étaient en formation.
Une maquette de LaFerrari au 1/12e. La seule du stand. J'étais d'ailleurs un peu déçu de ne pas voir de LaFerrari.
Pour en revenir à di Montezemolo, c'est un monument. Un marquis issu d'une vieille famille, peut-être un fils illégitime d'Enzo Ferrari. Il a dirigé la Scuderia, il a organisé le Mondial (de foot) 1990, il a dirigé Fiat, il s'est engueulé avec Silvio Berlusconi devant les caméras... Bref, c'est toute l'Italie à lui tout seul ! Ce sera dur d'en trouver un autre comme lui...
Le seul truc chiant, c'est que mon article n'a quasiment pas été lu !
Au moins, lors de ma 2e visite, j'ai assisté à une sacrée scène. Avec en guest star, Luca di Montezemolo : "C'est bon ? Ca tourne ? Tous les photographes et les cameramen sont là ? - "Luca di Montezemolo improvise une réponse à Sergio Marchionne, 1ère" [clap]. - O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? - Coupez ! - C'est bon ou on la refait ?"
Franchement, c'était niveau Actor's studio ! Marion Cottillard n'aurait pas fait mieux... D'ailleurs, elle n'a pas fait mieux !
Puis il faut reconnaitre que pour les journalistes, c'est du velours : Marchionne, Alonso, la stratégie de Fiat pour Ferrari... Il fait un tir de barrage. De quoi remplir 10 magazines !
Le stand Ferrari est fait de tel façon que toute une partie est impossible à voir depuis les allées. Seul les privilégiés peuvent admirer ces 330 passant la ligne d'arrivée des 24 heures de Daytona 1967 en formation... Histoire de faire (un peu) oublier que l'année précédente, au Mans, c'était les GT 40 qui étaient en formation.
Une maquette de LaFerrari au 1/12e. La seule du stand. J'étais d'ailleurs un peu déçu de ne pas voir de LaFerrari.
Pour en revenir à di Montezemolo, c'est un monument. Un marquis issu d'une vieille famille, peut-être un fils illégitime d'Enzo Ferrari. Il a dirigé la Scuderia, il a organisé le Mondial (de foot) 1990, il a dirigé Fiat, il s'est engueulé avec Silvio Berlusconi devant les caméras... Bref, c'est toute l'Italie à lui tout seul ! Ce sera dur d'en trouver un autre comme lui...
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