TN4H
Un bus Renault TN4H. Il est facilement identifiable avec sa cabine avancée. Je l'ai surpris en train de faire un demi-tour dans le Bois de Vincennes, alors que je faisais mon jogging. Je soupçonne le chemineau d'être reparti lentement pour mieux se laisser photographier...
J'ai déjà évoqué l'historique des Renault TN ici et j'ai la flemme de faire un copier/coller...
Le bus est un des symboles des transports "verts".
Aux Etats-Unis, en 2018, pour la seconde année consécutive, les ventes de bus ont progressé, passant de 18 705 unités en 2016 à 28 536 unités en 2018. Globalement, les ventes font le yoyo, au gré des passages de grands appels d'offres. Difficile d'y voir une tendance.
Néanmoins, les habitudes changent. Jusqu'ici, aux USA, le bus, c'était le véhicule du lumen-prolétariat : femmes de ménages, immigrés, taulards, cas sociaux...
Désormais, les jeunes Américains l'utilisent. Beaucoup terminent leurs études surendettés. Une fois dans la vie active, ils doivent faire des choix et la voiture est le premier produit sacrifié. Il y a aussi les GAFA qui souhaitent se donner bonne conscience en proposant des navettes grand confort, avec wifi, pour leurs employés. Même une fois plus installé, les gens continuent de prendre le bus, en semaine. L'un des indicateurs, c'est l'emploi de meme qui concernent les trajets en bus. Les meme sont souvent créé par de jeunes actifs, sur des situations suffisamment communes pour que d'autres s'y reconnaissent et diffusent ces meme.
Cela montre un infléchissement d'un des premiers pollueur mondiaux. La fin du "tout voiture" et des autoroutes à 8 voies, qui quadrillent les villes. A court terme, ça a créé une augmentation de la consommation de diesel de 3%, en 2018. Mais pendant les deux principaux constructeurs de bus électrique Proterra et Byd grignotent des parts de marché...
En Chine, les ventes sont relativement stables, dans un couloir de 150 000 unités par an. Pour autant, le marché s'est consolidé. Les bus Euro 0, qui crachaient un beau nuage noir à chaque accélération, c'est fini ! Place à des bus modernes, produits par une poignée d'acteurs.
Au 1er janvier 425 000 bus électriques circulaient en Chine. Au Pays du Milieu, l'électricité provient souvent de centrales à charbon. Mais là aussi, il y a eu du progrès. Les petites -et vieilles- centrales ont été arrêtées, au profit de centrales plus grosses et moins polluantes.
Voilà des statistiques rassurantes pour l'avenir de la planète bleue...
J'ai déjà évoqué l'historique des Renault TN ici et j'ai la flemme de faire un copier/coller...
Le bus est un des symboles des transports "verts".
Aux Etats-Unis, en 2018, pour la seconde année consécutive, les ventes de bus ont progressé, passant de 18 705 unités en 2016 à 28 536 unités en 2018. Globalement, les ventes font le yoyo, au gré des passages de grands appels d'offres. Difficile d'y voir une tendance.
Néanmoins, les habitudes changent. Jusqu'ici, aux USA, le bus, c'était le véhicule du lumen-prolétariat : femmes de ménages, immigrés, taulards, cas sociaux...
Désormais, les jeunes Américains l'utilisent. Beaucoup terminent leurs études surendettés. Une fois dans la vie active, ils doivent faire des choix et la voiture est le premier produit sacrifié. Il y a aussi les GAFA qui souhaitent se donner bonne conscience en proposant des navettes grand confort, avec wifi, pour leurs employés. Même une fois plus installé, les gens continuent de prendre le bus, en semaine. L'un des indicateurs, c'est l'emploi de meme qui concernent les trajets en bus. Les meme sont souvent créé par de jeunes actifs, sur des situations suffisamment communes pour que d'autres s'y reconnaissent et diffusent ces meme.
Cela montre un infléchissement d'un des premiers pollueur mondiaux. La fin du "tout voiture" et des autoroutes à 8 voies, qui quadrillent les villes. A court terme, ça a créé une augmentation de la consommation de diesel de 3%, en 2018. Mais pendant les deux principaux constructeurs de bus électrique Proterra et Byd grignotent des parts de marché...
En Chine, les ventes sont relativement stables, dans un couloir de 150 000 unités par an. Pour autant, le marché s'est consolidé. Les bus Euro 0, qui crachaient un beau nuage noir à chaque accélération, c'est fini ! Place à des bus modernes, produits par une poignée d'acteurs.
Au 1er janvier 425 000 bus électriques circulaient en Chine. Au Pays du Milieu, l'électricité provient souvent de centrales à charbon. Mais là aussi, il y a eu du progrès. Les petites -et vieilles- centrales ont été arrêtées, au profit de centrales plus grosses et moins polluantes.
Voilà des statistiques rassurantes pour l'avenir de la planète bleue...
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