Saint-Moritz : 4. mini-essai Audi Q2
Le troisième jour, j'ai du temps libre, en attendant la navette du retour. L'hôtel possède une piscine, une salle de muscu, un bar et du wifi correct... Donc je choisi d'aller dehors et de m'offrir quelques décamètres en Audi Q2. Du coup, j'ai du troquer exceptionnellement mes Moon boots pour des baskets (parce que conduire en Moon boots...)
Comme je l'ai dit, Audi est présent à tous les coins de rue de Saint-Moritz, durant la coupe du monde de ski. Et c'est vraiment à tous les coins de rue. Ainsi, il y a un parcours tout chemin à quelques mètres de l'hôtel.
J'aurais bien fait un tour en R8. Hélas, ils n'ont que des SUV. J'ai déjà conduit un SQ7. Va donc pour le dernier né, le Q2. Sauf erreur, c'est ici la version 2,0l TDI 150. J'avoue qu'avec ce genre de voiture, j'ai du mal à noircir du papier. C'est du travail sérieux, propre et sans bavure. Mais ça manque terriblement d'originalité. Esthétiquement, on dirait une A1 qui a avalé de l'hélium et à l'intérieur, vous avez toujours le même agencement de planche de bord. J'ai bossé pour eux il y a 11 ans et pourtant, tout est toujours à la même place ! Du coup, j'ai toujours une impression de déjà-vu...
Détail amusant : les voitures sont toutes chaussées en Pirelli Scorpion Winter. Audi a demandé des gommes spéciales, mais en petite taille. D'où ces roulettes ridicules. Les Italiens ont décidé d'eux-mêmes de faire des tailles plus grandes, mais a priori, ils ne sont disponible que chez les distributeurs indépendants.
L'attraction, c'est le parcours "tout chemin". Ca commence par une séance de deux roues assez impressionnante. Les SUV lèvent la patte et le poids repose sur les deux roues gauche. Pourtant, on ne verse pas, grâce à un centre de gravité très bas. Les SUV ont souvent été accusé d'être prompts à se retourner (surtout ceux avec châssis séparés.) Mais si on baisse le centre de gravité, on baisse la garde-au-sol... Deuxième exercice, la bascule. On avance, on avance et la bascule descend d'elle-même. Puis c'est le classique podium avec démarrage en cote. Mouais... Pour moi, la conduite, ce n'est pas appuyer sur deux trois boutons et la voiture fait tout. Savoir réaliser un démarrage en cote, c'était un des trucs qu'on apprenait à l'auto-école. L'électronique est faite pour travailler dans des conditions normales. On voit bien aux Etats-Unis qu'à la moindre tempête de neige, tout le monde s'encastre bêtement les uns dans les autres, faute de savoir improviser...
Comme je l'ai dit, Audi est présent à tous les coins de rue de Saint-Moritz, durant la coupe du monde de ski. Et c'est vraiment à tous les coins de rue. Ainsi, il y a un parcours tout chemin à quelques mètres de l'hôtel.
J'aurais bien fait un tour en R8. Hélas, ils n'ont que des SUV. J'ai déjà conduit un SQ7. Va donc pour le dernier né, le Q2. Sauf erreur, c'est ici la version 2,0l TDI 150. J'avoue qu'avec ce genre de voiture, j'ai du mal à noircir du papier. C'est du travail sérieux, propre et sans bavure. Mais ça manque terriblement d'originalité. Esthétiquement, on dirait une A1 qui a avalé de l'hélium et à l'intérieur, vous avez toujours le même agencement de planche de bord. J'ai bossé pour eux il y a 11 ans et pourtant, tout est toujours à la même place ! Du coup, j'ai toujours une impression de déjà-vu...
Détail amusant : les voitures sont toutes chaussées en Pirelli Scorpion Winter. Audi a demandé des gommes spéciales, mais en petite taille. D'où ces roulettes ridicules. Les Italiens ont décidé d'eux-mêmes de faire des tailles plus grandes, mais a priori, ils ne sont disponible que chez les distributeurs indépendants.
L'attraction, c'est le parcours "tout chemin". Ca commence par une séance de deux roues assez impressionnante. Les SUV lèvent la patte et le poids repose sur les deux roues gauche. Pourtant, on ne verse pas, grâce à un centre de gravité très bas. Les SUV ont souvent été accusé d'être prompts à se retourner (surtout ceux avec châssis séparés.) Mais si on baisse le centre de gravité, on baisse la garde-au-sol... Deuxième exercice, la bascule. On avance, on avance et la bascule descend d'elle-même. Puis c'est le classique podium avec démarrage en cote. Mouais... Pour moi, la conduite, ce n'est pas appuyer sur deux trois boutons et la voiture fait tout. Savoir réaliser un démarrage en cote, c'était un des trucs qu'on apprenait à l'auto-école. L'électronique est faite pour travailler dans des conditions normales. On voit bien aux Etats-Unis qu'à la moindre tempête de neige, tout le monde s'encastre bêtement les uns dans les autres, faute de savoir improviser...
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