Un parking de 2018
Si vous avez de bons yeux, vous avez remarqué sur l'article précédent, une Porsche 356, à l'arrière-plan. Cette 356, la voici. Un très joli cabriolet, très bien restauré.
J'ai régulièrement croisé des 356, mais rarement en cabriolet. Je me devais donc de l'immortaliser !
Et ce n'était que le début...
Alors que je retournai à ma voiture, je suis tombé sur cette DS. Certes, des DS, j'en vois presque tous les mois... Mais j'ai quand même pris quelques clichés...
Ca me fait toujours une drôle d'impression, de voir une DS en fin de soirée. Comme si c'était l'amorce d'un polard ou d'un film de science-fiction...
C'est un de ces parkings, où, pour ressortir, on vous balade à travers tout le site. Alors qu'enfin, j'accédais à la rampe pour remonter, je vis cette Jaguar Type E. C'était une 2+2, équipée du 6 cylindres 4,2l (NDLA : en même temps, il suffit de savoir lire...) Particularité, c'est une série 1A. Pour la dernière année de la série 1, Jaguar fit sauter les coques de phares. On peut donc en déduire qu'elle est de 1967.
Cette Type E était vraiment le clou de la soirée. Certes, j'aime mieux un cabriolet série 1 avec coque de phares, mais c'est un dessin si pure, dicté par l'aérodynamisme. C'était l'apogée de Jaguar. Il avait tué les autres constructeurs premium Britanniques et maintenant, sans complexe, il s'attaquait aux GT (alors dominées par l'Italie.) Et grâce aux victoires au Mans, il avait la crédibilité requise.
J'ai régulièrement croisé des 356, mais rarement en cabriolet. Je me devais donc de l'immortaliser !
Et ce n'était que le début...
Alors que je retournai à ma voiture, je suis tombé sur cette DS. Certes, des DS, j'en vois presque tous les mois... Mais j'ai quand même pris quelques clichés...
Ca me fait toujours une drôle d'impression, de voir une DS en fin de soirée. Comme si c'était l'amorce d'un polard ou d'un film de science-fiction...
C'est un de ces parkings, où, pour ressortir, on vous balade à travers tout le site. Alors qu'enfin, j'accédais à la rampe pour remonter, je vis cette Jaguar Type E. C'était une 2+2, équipée du 6 cylindres 4,2l (NDLA : en même temps, il suffit de savoir lire...) Particularité, c'est une série 1A. Pour la dernière année de la série 1, Jaguar fit sauter les coques de phares. On peut donc en déduire qu'elle est de 1967.
Cette Type E était vraiment le clou de la soirée. Certes, j'aime mieux un cabriolet série 1 avec coque de phares, mais c'est un dessin si pure, dicté par l'aérodynamisme. C'était l'apogée de Jaguar. Il avait tué les autres constructeurs premium Britanniques et maintenant, sans complexe, il s'attaquait aux GT (alors dominées par l'Italie.) Et grâce aux victoires au Mans, il avait la crédibilité requise.
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Qu'est-ce que vous en pensez ?