Tour Auto 2023 : Dijon-Prenois

Le Tour Auto, en statique, c'est bien. Mais en dynamique, c'est encore mieux ! Première étape : Dijon-Prenois.

Première étape, sticker ma voiture ! Comme les années précédentes, j'avais fait un massacre, j'ai fait appel à des pros. A savoir US Car Wash, dans le Val de Marne (NDLA : non, je ne les ai pas "payé en visibilité".)

Par rapport à samedi dernier, Dijon-Prenois est métamorphosé ! Ça entre, ça sort, il y a des voitures en piste, une pré-grille, une pré-pré-grille... Cela bouge en permanence.

Surtout, les tribunes sont pleines. Alors qu'on est en semaine, en pleine journée ! Il n'y a pas de portrait-robot du visiteurs, cela va de 7 à 77 ans !

Certaines mécaniques sont déjà bien fatiguées. Cette Matra-Bonnet est tombée en panne à 200 mètres du circuit ! Rassurez-vous, elle repartira.

En piste, les anciennes réagissent différemment. Dans le virage de la Combe, avec la force centrifuges, elles penchent à l'avant-gauche et sont à la limite du sous-virage.

Plus étonnant : elles ont du mal à passer le Gauche de la Bretelle. Là aussi, le transfert de masse les pousse au sous-virage.

Là, une Lotus Elan tente d'en doubler deux autres.Un "toudroi" au Gauche de la Bretelle ne le refroidit pas ! Il continue de souder, alors que la voiture est à l'équerre. Il s'offre un gros plan du rail, mais il ne lève toujours pas !

Du reste, c'est surtout l'occasion de voir rouler des voitures anciennes et souvent hors de prix.

C'est un véritable festival Ferrari.

C'est du reste une bataille de Cobra entre Henri Pescarolo et Thierry Boutsen. Le Belge est le plus rapide, mais à l’applaudimètre, par contre...

Puis il y a l'incroyable 512 M, avec ce bruit du V12... Elle dépose littéralement toutes les autres voitures !

Et pas le temps de flâner. Sitôt sorti de la piste, il faut reprendre la route, à l'instar de ces trois Allemandes.

Commentaires

Articles les plus consultés