Tour Auto 2023 : Paul Ricard
L'étape a lieu en fin d'après-midi. En partant de Valence, je me laisse descendre tranquillement. L'occasion de traverser des petits villages, tous plus proprets, les uns que les autres. Comme ici, où deux Morgan s'offrent un bain de soleil, au pied d'une tour...
Google me force à prendre l'autoroute. A la sortie, je tombe sur les concurrents du Tour Auto. L'occasion de me joindre aux spotters...
Comme d'habitude, les propriétaires d'anciennes du coin font le déplacement... Mais cette Peugeot 504 pick-up, elle, elle se rend à un chantier !
Avec un tel décor, ce serait presque trop facile de faire de la belle photo !
Puis c'est l'arrivée au Circuit Paul Ricard, avec une vision familière : le pointage.
Notez qu'au Castellet, ce sont exceptionnellement les "régularité" qui s'élancent en piste en premier.
Avec d'ultimes réparations pour la Frazer-Nash Le Mans...
Une éternité plus tard, une première voiture prend la piste...
Le tracé est un régal pour les photographes, quel que soit l'endroit où l'on pointe son appareil...
Puis c'est déjà la fin de la récréation !
Comme à chaque fois, les voitures sortent par une voie au bout des stands. Puis c'est le pointage, avant de s'élancer vers le parc fermé du soir...
A ceci près qu'aujourd'hui, l'entrée du parc fermé est située à la sortie du paddock. La "spéciale" ne dure que quelques mètres !
Cela fait plaisir de voir certaines voitures au Castellet. Comme la Jaguar Mark VIII.
Drapeau à damier également pour la Volkswagen 1303S de 1973. Une voiture préparée par les jeunes étudiants du Garac. Chapeau, les p'tit gars !
Du reste, le Paul Ricard a le défaut de ses qualités. C'est propre, c'est chic, c'est immense... Il manque le côté plus intimiste ou plus populaire des autres parc fermés. Hommes et voitures semblent parfois un peu perdu dans ce site cyclopéen.
Astuce du pilote : se garer à l'ombre, en attendant...
Pour certains, il est déjà l'heure de déguster la boisson qui a fait la fortune de Paul Ricard (avec modération, bien sûr.) Mais pour les retardataires, la route est encore longue...
Jusqu'à l'A50, je croise ainsi des retardataires, pressés de monter et d'autres, trahis par leur mécanique dans les ultimes kilomètres...
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Qu'est-ce que vous en pensez ?