Mondial 2018 : 1. Jour 0

Le Mondial 2018, c'est parti ! Comme d'habitude, j'ai pris une tonne de photo... Et comme d'habitude, lorsque j'ai été chercher mon accréditation, j'en ai profité pour prendre quelques photos, à la volée...

Non pas que je cherchais des scoops, c'est plutôt cette ambiance "coulisses" que je cherchais. Les bruits de perceuses, de disqueuses, les copeaux et les palettes par terre, les ouvriers qui déambulent... Et le lendemain, place au glamour !
En fait, il n'y a pas un Mondial de l'auto, mais des Mondials (NDLA : des Mondiaux ?) Il y a celui de la presse, celui des professionnels de l'automobile, celui du grand public, sans oublier les pipoles qui ont droit à des visites VIP, en pleine nuit. Du coup, sur les stands, tout le monde n'est pas présent durant la quinzaine, loin s'en faut...
Les techniciens, eux, ils n'en ont pas fini ! Ce que peu de gens savent, c'est qu'au fil du salon, les stands bougent. Lors des journées presse, tout est accessible. Mais ensuite, certains stands (à commencer par le premium) ont des zones privatisées. Donc les barrières poussent durant la nuit... Quant aux stands grands publics (boutiques, assureurs, services...), ils attendent la venue du public pour lever le rideau. Sans oublier les animations ponctuelles.
Parfois aussi, ce sont les voitures qui tournent. Je me souviens qu'au Mondial 2012, il n'y avait que des Clio, durant les journées presse, sur le stand Renault. Et pour le public, le reste de la gamme était là. Parce qu'un constructeur n'a peut-être pas envie de diffuser le même message.

En bref, chaque soir où presque, dès que les portes se ferment, les allées appartiennent de nouveau aux ouvriers...

Quand même, la scène la plus insolite que j'ai vu, c'était cette Kawasaki de compétition, qui utilisait le trottoir roulant pour rejoindre son hall...

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