Alpine fait son grand retour au Mondial de Paris. Et pour voir des Alpine sur un stand distinct de celui de Renault, il faut remonter a priori jusqu'aux années 60. En tout cas, moi, de mémoire, les V6 et A610 étaient exposées sur le stand de la firme au losange...
L'une des attractions du stand, c'était le châssis en aluminium de l'A110.
Le démarrage de l'A110 est bon. D'après moi, le projet Alpine obtint un feu vert vers 2007-2008. Le chemin parcouru est impressionnant, celui qui reste à parcourir l'est tout autant... Maintenant, il y aura tout un travail pour développer Alpine à l'export (y compris dans des pays où Renault est pas ou peu présent) et dépasser l'effet de nouveauté autour de l'A110. Dans un autre registre,
Maybach était une marque dont le retour fut une réussite, mais qui n'a pas su débuter une nouvelle histoire.
L'une des clefs pour relancer la marque Alpine, c'est la compétition. Juste avant l'ouverture du salon, la disqualification de l'Oreca G-Drive de Roman Rusinov, Jean-Eric Vergne et Andrea Pizzitola fut confirmée. Du coup, l'Alpine A470 Signatech de Nicolas Lapierre, Pierre Thiriet et Andre Negrao fut déclarée victorieuse des 24 heures du Mans 2018 (en LMP2.) Le service presse ne manqua pas de faire le parallèle avec
le succès de l'A442, il y a 40 ans...
Signatech fut chargé de développer une voiture de coupe, l'A110 Cup. Puis il en déclina une GT4, que voici :
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