Mercedes SLK 55 AMG, mon quinzième essai

A l'origine, je voulais un CLK cabriolet (en plus, ça aurait été un hommage à Karmann), afin de comparer avec l'A5 Cabriolet (que j'aurais un jour, je suis confiant) et la Chrysler Sebring Cabriolet (à l'essai fin juillet.)

Mais Mercedes n'en a plus. D'où la conversation surréaliste: "Une SL, ça vous dirait... - Vous avez quoi en SL? - [tape sur son ordi] une SL 65 AMG... [tape sur son ordi] Ah, elle est partie en VO... Un SLK, alors? - Vous avez quoi en SLK? - [tape sur son ordi] 200K, 320 CDI ou 55 AMG... - [cœur qui bat à 200 pulsations/minutes] Elle est disponible, la 55 AMG du 3 au 10 juillet? - [tape sur son ordi] Oui. - Alors je la réserve!"

J'avoue que c'était avant tout pour me faire plaisir. Mais contrairement à d'autres au Blog Auto, lorsque je fais un essai plaisir, je pense tout de même à taper un article au bout (par correction envers la marque qui prête la voiture.)
J'avais un peu d'appréhension, car les deux précédentes fois où je voulais me faire plaisir (Mazda RX-8 et Opel GT), je me suis retrouvé avec un véhicule trop pointu pour rouler sur route. La SLK 55 AMG n'est pas si pointue. Mais sa consommation, sa faible adhérence (propulsion+pneus de merde) et son confort (suspensions raides comme un fonctionnaire du trésor public) sont problématiques pour une utilisation quotidienne.

Reste le bruit.

Et puis la réaction des gens:
- Une vieille dame, pendant que je prenais les photos: "J'ai la même, sauf que c'est une Opel. Et qu'elle est bleue. Et que ce n'est pas un cabriolet."
- Un black, dans la rue: "La tuerie, cousin. La tuerie!"
- Un jeune en Clio, tout timide: "Eh, m'sieur, m'sieur, votre voiture, elle déchire!"
- Un jeune à l'arrière de cette Clio: "Oh ouais, elle déchire trop, m'sieur!"

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