La rue Aygo

L'autre jour, je lisais un article de la Singapourienne Cheryl Tai. Je suis d'accord avec ses F.A.Q., j'aurais peu ou prou les mêmes réponses sur le journalisme auto. Non, on n'essaye pas tous les jours de puissants bolides.... Tout simplement parce qu'ils représentent une part marginale du marché. Pour être proche de nos lecteurs, on doit essayer des citadines, des SUV et des monospaces. La preuve, quand j'ai dit que j'étais invité à la présentation Aygo, mon rédac'chef m'a répondu que LBA avait déjà été invité à la présentation "Europe" de l'Aygo.
Moi, l'Aygo, ça m'intéresse. La triplette 108/C1/Aygo est a priori l'une des grandes nouveautés de 2014. L'ancienne triplette était juste un véhicule bon marché pour occuper l'entrée de gamme. Depuis, la demande pour des micro-citadines est plus forte. La clientèle vient du "B", voir du "C" et elle veut des équipements et une "gueule". En plus, chez Toyota, la boboïsante iQ a disparu. Donc l'Aygo se veut beaucoup plus ambitieuse.

Qui plus est, un lancement, c'est toujours un moyen d'obtenir des infos en "off". Et accessoirement, la manière dont il est organisé, les thèmes mis en avant, etc. en disent souvent long sur le marché.
 Ce qui étais dommage, c'est que c'était une présentation statique. Toyota voulait avant tout mettre en place un "univers Aygo", jeune, fun et urbain. D'où cette "rue Aygo" en plein Paris.

Il y avait des activités marrante, comme ces tatouages éphémères.
En tout cas, visuellement, l'opération était très sympa. Il y avait une ambiance "Nuit blanche" ou "squat arty des années 90". C'était même mieux que certaines réalisations de MJC ou de collectifs...

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