Hyundai Galloper
L'autre jour, j'ai croisé ce Hyundai Galloper. Près de chez moi, il y a aussi un Kia Sportage.
Le Galloper, c'était le Hyundai des années 90: un(e) Mitsu à peine relookée, avec une finition à hurler et un prix très bas. Quant au Sportage, il a moins bien veilli que certaines Rover...
A l'époque, on en rigolait. On les comparait à Lada.
L'an dernier, j'ai conduit une Kia Soul et elle ne m'a pas laissé de grands souvenirs.
La partie immergée de l'iceberg Hyundai-Kia, c'est des voitures plus ambitieuses, mieux finies, voir avec une part de rêve, comme la Genesis Coupé.
Aux Etats-Unis, il prend petit à petit la place de Honda et Toyota.
Mais surtout, Kia-Hyundai a compris que la croissance, elle n'est plus en Europe ou aux Etats-Unis. Elle est en Chine, en Inde, en Amérique du Sud, en Asie du Sud-est. C'est là qu'ils vont trouver un million d'acheteur supplémentaires par an. C'est ça, la révolution dans l'automobile: le centre de gravité se déplace.
Sur le très long terme, le problème des Coréens (et des Indiens) est d'être trop discrets. Culturellement, ils n'ont pas un esprit de conquête, à l'instar des Chinois et des Japonais. Leur avantage, c'est que ça leur permet de s'implanter discrètement. Mais ils avancent lentement. Alors que Byd, Chery ou Great Wall, c'est du Leroy Jenkins!
Le Galloper, c'était le Hyundai des années 90: un(e) Mitsu à peine relookée, avec une finition à hurler et un prix très bas. Quant au Sportage, il a moins bien veilli que certaines Rover...
A l'époque, on en rigolait. On les comparait à Lada.
L'an dernier, j'ai conduit une Kia Soul et elle ne m'a pas laissé de grands souvenirs.
La partie immergée de l'iceberg Hyundai-Kia, c'est des voitures plus ambitieuses, mieux finies, voir avec une part de rêve, comme la Genesis Coupé.
Aux Etats-Unis, il prend petit à petit la place de Honda et Toyota.
Mais surtout, Kia-Hyundai a compris que la croissance, elle n'est plus en Europe ou aux Etats-Unis. Elle est en Chine, en Inde, en Amérique du Sud, en Asie du Sud-est. C'est là qu'ils vont trouver un million d'acheteur supplémentaires par an. C'est ça, la révolution dans l'automobile: le centre de gravité se déplace.
Sur le très long terme, le problème des Coréens (et des Indiens) est d'être trop discrets. Culturellement, ils n'ont pas un esprit de conquête, à l'instar des Chinois et des Japonais. Leur avantage, c'est que ça leur permet de s'implanter discrètement. Mais ils avancent lentement. Alors que Byd, Chery ou Great Wall, c'est du Leroy Jenkins!
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