La folle histoire de ma clef de voiture (suite et fin)

J'ai profité de la révision annuelle pour aller chercher le double des clefs (qui m'attendait depuis novembre.) C'est la fin d'un feuilleton.

Donc, désormais, je peux paumer mes clefs et garder l'esprit tranquille!

On m'a dit que j'aurais pu passer par mon assurance. Supposons qu'effectivement, je l'ai fait:
- L'avion a atterri à Roissy à 17h30. Le temps de sortir, de fouiller ma valise, etc. Il était largement plus de 18h. Donc, la MACIF m'aurait dit: "A cette heure-là, on ne traite que les urgences, rappelez nous demain!" (NDLA: le genre de phrases qui fait toujours plaisir à entendre.)
- Le lendemain matin j'appelle la MACIF. Après 3 heures à entendre True colors de Cindy Lauper, l'opératrice s'occupe de moi. Elle appelle l'un des deux garages agréés MACIF du 94, pour qu'il appelle un dépanneuse, qui va venir chercher ma voiture à Roissy (où je dois être physiquement présent.)
- Avec un peu de chance, la dépanneuse arrive au garage en fin d'après-midi: l'atelier va fermer. Pour cause de week-end du 1er novembre, il ne rouvre que mardi. Il n'y pas de garage Mazda agréé MACIF. Le garage où est ma voiture doit appeler un garage Mazda pour qu'il commande une clef à Mazda Europe.
- Lorsque la clef arrive, ma voiture doit être physiquement déplacée au garage Mazda pour que la clef soit programmée. Puis, ils la ramènent au garage du 94 (NDLA: sachant que la MX-5 est une propulsion, la transmission prend un coup à chaque remorquage.)
- Au bout d'au moins 15 jours sans bagnole (compte tenu des ponts du 1er et du 11 novembre), je récupère enfin ma voiture. Et ça m'étonnerait que la MACIF prenne en charge toute la facture (c'est pas trop le genre de la maison), quant aux couts indirects...

Bref, vous le voyez, c'est mieux de traiter les choses en direct. Parce que la MACIF, ils savent surtout encaisser ma prime annuelle...

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