Deux flops
Une Talbot Horizon... Enfin, elle a une bavette Talbot, mais il y a marqué "Simca" sur le hayon... L'Horizon, c'était la compacte que Simca avait attendue pendant des années. Mais elle n'a jamais pris. Etait-ce ses airs de "Sunbeam-Talbot 5 portes" (c'était encore plus criant sur la Dodge Omni) ? L'absence de version sportive (du moins, de ce côté de l'Atlantique) ? Pourtant, ni Citroën, ni Peugeot n'avaient de concurrente directe. Quant à Renault, ce n'était pas avec la R14 qu'il allait impressionner... L'Arizona aurait du la remplacer. Mais Talbot était si malade que l'Horizon fut stoppée en 1984. Il y eu un trou et l'Arizona devint Peugeot 309.
Michel Leclerc, fils maudit d'Edouard Leclerc, voulu être mandataire avant l'heure. Il avait récupéré des Horizon belges à prix cassées et il voulait les vendre en France. Peugeot-Talbot, comme on disait alors, fit pression et l'état français refusa d'homologuer les voitures. Leclerc du les revendre aux Belges et ce fut la fin de sa boite. Il y eu ensuite les stations Michel L...., mais ça, c'était une autre histoire... (Là, normalement, il faut dire "et n'oubliez pas de vous abonner...")
Dans les années 80-90, Opel, c'était le roi Midas : tout ce qu'il touchait se changeait en or ! La Corsa, la Kadett, la Vectra, la Calibra... L'exception, c'était le haut de gamme. L'Omega n'a jamais convaincu. Du moins, à part la Lotus Omega. Des braqueurs Anglais avaient remarqués que les bobbys roulaient en Rover 200. Donc, ils commettaient leurs larcins en Lotus Omega (ou plutôt "Lotus Carlton" outre-manche.) Avec leur sobriété habituelle, les tabloïds britannique firent les choux gras de la "voiture des braqueurs", ce qui fit sans doute beaucoup pour la Lotus Omega.
Mais la voiture ci-dessus (qui a un badge Vauxhall !) n'est pas une Omega : c'est une Senator. C'était un dérivé cossu de l'Omega. Audi faisait la même chose avec la 200 vis à vis de la 100. Dans les deux cas, ce fut un flop.
Michel Leclerc, fils maudit d'Edouard Leclerc, voulu être mandataire avant l'heure. Il avait récupéré des Horizon belges à prix cassées et il voulait les vendre en France. Peugeot-Talbot, comme on disait alors, fit pression et l'état français refusa d'homologuer les voitures. Leclerc du les revendre aux Belges et ce fut la fin de sa boite. Il y eu ensuite les stations Michel L...., mais ça, c'était une autre histoire... (Là, normalement, il faut dire "et n'oubliez pas de vous abonner...")
Dans les années 80-90, Opel, c'était le roi Midas : tout ce qu'il touchait se changeait en or ! La Corsa, la Kadett, la Vectra, la Calibra... L'exception, c'était le haut de gamme. L'Omega n'a jamais convaincu. Du moins, à part la Lotus Omega. Des braqueurs Anglais avaient remarqués que les bobbys roulaient en Rover 200. Donc, ils commettaient leurs larcins en Lotus Omega (ou plutôt "Lotus Carlton" outre-manche.) Avec leur sobriété habituelle, les tabloïds britannique firent les choux gras de la "voiture des braqueurs", ce qui fit sans doute beaucoup pour la Lotus Omega.
Mais la voiture ci-dessus (qui a un badge Vauxhall !) n'est pas une Omega : c'est une Senator. C'était un dérivé cossu de l'Omega. Audi faisait la même chose avec la 200 vis à vis de la 100. Dans les deux cas, ce fut un flop.
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