ePrix de Paris : 3. le bonus
En marge de cet ePrix de Paris, il y avait pas mal de voitures !
Le mercredi, j'ai vu le camion transportant l'Audi e-tron Vision Gran Turismo. Hélas, je n'en ai pas vu davantage...
Alors que je cherchais l'entrée du paddock (dont je pensais naïvement que j'y aurais accès), je suis tombé sur ce Jeepney. Les Jeepney (ou "tamarau") sont des Jeep militaires transformées en minibus, aux Philippines. Les Etats-Unis possèdent une base sur l'archipel, d'où de nombreuses Jeep en surplus. Faute de minibus, les Philippins ont donc pris ces Jeep et souvent, elles sont dans des couleurs chatoyantes, chromées et accessoirisées au-delà du raisonnable, avec quelques bondieuseries dessus... C'est du typiquement typique !
Celle-ci a été convertie à l'électrique, d'où sa présence.
Une Mtech (?) Pas beaucoup d'infos sur cette voiture, visiblement électrique.
Faute de bon coin pour assister à la course, je me suis réfugié aux Invalides. C'était une drôle d'ambiance : un lieu immense, mais complètement vide, mis à part quelques soldats. Je suis tombé par hasard sur ce vaillant char Renault de la première guerre mondiale.
Après la course, j'ai trainé dans la fan zone.
Sur le stand DS, il y avait cette Formule e de seconde génération. Elle entrera en piste l'an prochain, sera plus performante et elle aura davantage d'autonomie.
Jaguar, lui, exposait la voiture actuelle. Si je devais décerner un prix de la plus belle Formule e, il serait pour Jaguar. Dommage qu'ils n'aient pas de chance. Ils ont eu un podium et quelques places d'honneurs en début de saison et depuis, c'est abandon sur abandon.
Une BMW i8 devant la monoplace Andretti. BMW et Mercedes soutiennent des écuries (leur apportant notamment des pilotes), mais leur nom et leur logo n'apparait nul part.
A Paris, les deux monoplaces Andretti ont du renoncer en début d'épreuve, alors que l'équipe est en queue de peloton du championnat. Ca pose la question de la patience de BMW et de la patience des constructeurs, en général...
Une Mercedes EQ. Mercedes, comme tous les constructeurs, fait de grandes annonces sur l'électrique et la sortie du thermique. Reste à savoir si la clientèle, elle, sortira du thermique...
A Paris, le food-truck est une figure imposée. A l'ePrix, il se doit d'être une Citroën vintage !
Il y avait aussi ce Piaggio Ape vendeur de gaufres, avec arrière télescopique. Difficile de faire plus instable...
Et pour finir, l'obligatoire artiste de street art :
Le mercredi, j'ai vu le camion transportant l'Audi e-tron Vision Gran Turismo. Hélas, je n'en ai pas vu davantage...
Alors que je cherchais l'entrée du paddock (dont je pensais naïvement que j'y aurais accès), je suis tombé sur ce Jeepney. Les Jeepney (ou "tamarau") sont des Jeep militaires transformées en minibus, aux Philippines. Les Etats-Unis possèdent une base sur l'archipel, d'où de nombreuses Jeep en surplus. Faute de minibus, les Philippins ont donc pris ces Jeep et souvent, elles sont dans des couleurs chatoyantes, chromées et accessoirisées au-delà du raisonnable, avec quelques bondieuseries dessus... C'est du typiquement typique !
Celle-ci a été convertie à l'électrique, d'où sa présence.
Une Mtech (?) Pas beaucoup d'infos sur cette voiture, visiblement électrique.
Faute de bon coin pour assister à la course, je me suis réfugié aux Invalides. C'était une drôle d'ambiance : un lieu immense, mais complètement vide, mis à part quelques soldats. Je suis tombé par hasard sur ce vaillant char Renault de la première guerre mondiale.
Après la course, j'ai trainé dans la fan zone.
Sur le stand DS, il y avait cette Formule e de seconde génération. Elle entrera en piste l'an prochain, sera plus performante et elle aura davantage d'autonomie.
Jaguar, lui, exposait la voiture actuelle. Si je devais décerner un prix de la plus belle Formule e, il serait pour Jaguar. Dommage qu'ils n'aient pas de chance. Ils ont eu un podium et quelques places d'honneurs en début de saison et depuis, c'est abandon sur abandon.
Une BMW i8 devant la monoplace Andretti. BMW et Mercedes soutiennent des écuries (leur apportant notamment des pilotes), mais leur nom et leur logo n'apparait nul part.
A Paris, les deux monoplaces Andretti ont du renoncer en début d'épreuve, alors que l'équipe est en queue de peloton du championnat. Ca pose la question de la patience de BMW et de la patience des constructeurs, en général...
Une Mercedes EQ. Mercedes, comme tous les constructeurs, fait de grandes annonces sur l'électrique et la sortie du thermique. Reste à savoir si la clientèle, elle, sortira du thermique...
A Paris, le food-truck est une figure imposée. A l'ePrix, il se doit d'être une Citroën vintage !
Il y avait aussi ce Piaggio Ape vendeur de gaufres, avec arrière télescopique. Difficile de faire plus instable...
Et pour finir, l'obligatoire artiste de street art :
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