A112
J'adore les Autobianchi A112. Elle a une bonne bouille et aussi, c'était l'apogée d'une marque aujourd'hui disparue, Autobianchi. Mais sur ce blog, je ne m'étais jamais vraiment attardé sur ce modèle. Voici l'opportunité de réparer cela. En plus, c'est une A112 Abarth !
A la fin des années 60, la Fiat 600 partait à la retraite ; la 850 assurant plus ou moins l'intérim comme citadine. L'architecture tout-à-l'arrière était dépassée, ça ne faisait aucun doute... Ce qui n'empêcha pas Fiat de lancer la 126, en 1972. Mais fallait-il concevoir une citadine traction ou propulsion ? Le constructeur Italien avait l'expérience des berlines propulsion. Néanmoins, la Mini -une traction- était la nouvelle référence en matière de micro-citadine.
Pour essuyer les plâtres, Fiat utilisa Autobianchi, comme il l'avait fait avec la berline A111. L'A112 sorti en 1969. La Fiat 600 ne lui rendait que 1,5cm et pourtant, l'A112 était nettement plus spacieuse. L'expérience fut concluante et en 1971, Fiat lança la 127, prenant le virage des citadines modernes.
L'A112 mena néanmoins une belle carrière. Dès 1971, elle eu droit à une version Abarth. Ici, sauf erreur, c'était une version post-1979 avec moteur 1l 70ch. Elle prenait 160km/h en pointe. Prix : 37 000 frs. Innocenti commercialisait alors une Mini de Tomaso avec des performances similaires, mais un prix un poil plus bas (35 950 frs.) Oui, mais l'A112 Abarth bénéficiait de l'image du Trophée, en rallye. L'édition Française mit le pied de Michèle Mouton ou de Bruno Saby à l'étrier...
Tout ça est si loin... Dans la période 75-90, Fiat était le roi des généraliste et de l'access premium. Je ne vais vous refaire le speech sur ce qu'était le groupe Fiat quand j'étais petit vs ce qu'il est aujourd'hui. Peut-être que si j'étais plus vieux, j'aurais eu la même nostalgie à l'égard de British Leyland...
Malheureusement, il n'y a pas grand chose à dire sur le Fiat actuel et surtout, pas grand chose de positif à dire. Je n'ai pas envie de tirer sur une ambulance.
A la fin des années 60, la Fiat 600 partait à la retraite ; la 850 assurant plus ou moins l'intérim comme citadine. L'architecture tout-à-l'arrière était dépassée, ça ne faisait aucun doute... Ce qui n'empêcha pas Fiat de lancer la 126, en 1972. Mais fallait-il concevoir une citadine traction ou propulsion ? Le constructeur Italien avait l'expérience des berlines propulsion. Néanmoins, la Mini -une traction- était la nouvelle référence en matière de micro-citadine.
Pour essuyer les plâtres, Fiat utilisa Autobianchi, comme il l'avait fait avec la berline A111. L'A112 sorti en 1969. La Fiat 600 ne lui rendait que 1,5cm et pourtant, l'A112 était nettement plus spacieuse. L'expérience fut concluante et en 1971, Fiat lança la 127, prenant le virage des citadines modernes.
L'A112 mena néanmoins une belle carrière. Dès 1971, elle eu droit à une version Abarth. Ici, sauf erreur, c'était une version post-1979 avec moteur 1l 70ch. Elle prenait 160km/h en pointe. Prix : 37 000 frs. Innocenti commercialisait alors une Mini de Tomaso avec des performances similaires, mais un prix un poil plus bas (35 950 frs.) Oui, mais l'A112 Abarth bénéficiait de l'image du Trophée, en rallye. L'édition Française mit le pied de Michèle Mouton ou de Bruno Saby à l'étrier...
Tout ça est si loin... Dans la période 75-90, Fiat était le roi des généraliste et de l'access premium. Je ne vais vous refaire le speech sur ce qu'était le groupe Fiat quand j'étais petit vs ce qu'il est aujourd'hui. Peut-être que si j'étais plus vieux, j'aurais eu la même nostalgie à l'égard de British Leyland...
Malheureusement, il n'y a pas grand chose à dire sur le Fiat actuel et surtout, pas grand chose de positif à dire. Je n'ai pas envie de tirer sur une ambulance.
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